Un petit CROA de ma soirée d'hier soir.

Comme prévu j'arrive vers 20h45 à la Géronstère. Ce sera une soirée en solitaire.

Première surprise, l'entrée est barrée par une chaîne et un papier indique que le passage est interdit pour raison de chasse. Dépité je me résigne à rentrer puis je vois une mention 6/10 que j'interprète comme, la chasse aura lieu le 6/10. Comme on est le 4 et qu'il n'y a pas de cadenas à la chaîne. Je l'enlève et passe outre l'interdiction... en espérant que mon interprétation est bonne !

J'installe le T 400 et règle le chercheur sur mars qui est près de se coucher.
Comme prévu les turbulences empêchent de discerner des détails mais je perçois tout de même quelques nuances d'albedo.

Un petit test plus près du zénith sur M13. C'est tout bon, les étoiles sont bien piquées et l'amas parfaitement résolu.
Je m'attarde un peu puis passe à mon défi de la soirée: la nébuleuse du croissant. Je ne l'ai vue qu'une fois dans un T600 l'été dernier et ne suis jamais arrivé à la retrouver dans mes instruments.
J'installe le filtre UHC mais, comme à chaque tentative, je rame lamentablement dans les myriades d'étoiles de cette portion de ciel.

Aux alentours, une chouette hulule à qui mieux mieux et, pour la première fois de ma vie, j'entends bramer les cerfs en live. Je suis très content mais cela me rappelle le panneau d'interdiction et j'écoute avec un peu d'angoisse si je n'entend pas de coups de feu.

Plusieurs fois, je crois trouver cette fichue nébuleuse mais non, je ne pointe pas au bon endroit !
C'est tout de même étrange, plus le temps passe plus il y a des nuages de gaz autour des étoiles brillantes puis le champ s'assombrit et tout devient flou. En réalité, c'est mon secondaire qui est complètement embué !

Je rentre un quart d'heure dans la voiture en espérant que cela passe. J’abaisse à fond le dossier du siège conducteur et essaye de bien repérer les alentours de la nébuleuse sur le Sky Safari de mon smartphone.
Lorsque j'essaye de relever le siège électrique, il ne réagit plus et, quelques heures plus tard, je devrai rentrer chez moi accroché au volant ... bonjour le dos !

Pendant ce temps, la buée est toujours présente et empêche toute observation.
Il n'est qu'un peu plus de onze heures et, par sécurité, j'avais aussi embarqué le Strock 250. Je décide de démonter le T400 et de monter le Strock car mon envie de croissant n'est pas passée.

Il est presque minuit lorsque je reprend les recherches puis: les 4 étoiles en forme de trapèze ! A l'intérieur, près de l'étoile la plus brillante du petit côté, l'alignement de 3 petites étoiles faibles. Je suis à peu près certain d'être au bon endroit. Je m'attarde un peu puis oui, je vois un fragment de nébuleuse entre 2 des étoiles. Je vérifie avec les autres étoiles visibles, cette fois tout concorde, je suis bien dessus et je laisse mes yeux s'accoutumer.
Le reste du croissant se dévoile peu à peu, montrant son enroulement, à mi-parcours, entre une des étoiles du quadrilatère et une autre périphérique. J'hésite à sortir papier et crayon pour faire un dessin mais l'humidité est toujours très forte, je pense que le papier se détrempera très vide ... et je commence à avoir froid.
J'essaye de monter en grossissement en remplaçant le 24mm par un 11mm mais cela assombri trop la nébuleuse qui ne se discerne plus. Je remets le 25mm et, par curiosité, je regarde sans le filtre. Plus rien entre les étoiles, même en vision indirecte aucun fragment n'est perceptible !

Les cerfs se sont calmés mais, brusquement, à quelques mètres, j'entend un grognement de sanglier. Il semble que la chasse du 6 octobre pourrait être fructueuse ! J'ai lu que les sangliers craignaient l'homme, je pousse un "Hé Là" en allumant ma frontale et j'entend l'animal détaller.

Il y a un autre objet que j'au vu en été dans le T600 et que j'aimerai revoir. C'est la nébuleuse planétaire "Le fantôme de Saturne".
J'essaye de la pointer mais elle est déjà assez basse et je la cherche une dizaine de minutes sans succès. Il faut dire que j'ai de plus en plus froid et le vent s'est levé avec des rafales qui, non contentes, d'emporter des centaines de feuilles mortes, font aussi bouger le léger Strock 250.
Le fantôme attendra une prochaine fois....

Il est 1h du matin, il est temps de remballer. Je me console du fantôme de Saturne avec un rapide coup d’œil aux inratables nébuleuses Dumbell et de la Lyre.

Globalement, même si j'ai vu peu d'objets, je suis satisfait de ma sortie: J'ai enfin trouvé le croissant et j'ai entendu le brame du cerf !

Yves Piette

Superbe nuit!
La bande de nuages venant de la France s'est décalée vers le nord.
Pas de lune, celle-ci se levant très tardivement et restant ensuite cachée par les arbres entourant la clairière.
Voie lactée bien visible; ciel stable.

Ayant eu l'appel de personnes voulant venir des enfants, j'ai abandonné la CCD au profit d'une lunette et de l'observation visuelle.

Yves m'a fait la démonstration du montage de son dobson 400m, de conception personnel. Joli joli joli!

Nous nous sommes finalement retrouvés avec deux configurations diamétralement opposées.
L'observateur manuel d'un côté s'aidant de sa paire de jumelles à la recherche des objets les plus diffus avec son gros diamètre.
D'un autre côté, l'observateur technologique, avec son goto que Manu a poussé à chercher la limite de résolution de son instrument.

Un nouveau point commun regroupant les deux: le smartphone. L'un pour les applications de cartes du ciel, l'autre pour les catalogues d'étoiles doubles.

Fin des activités vers 03h00, l’humidité prenant le pas.


Alexandre

D'abord le stage ...

Christian explique la fabrication des fusées à eau.

Installation des instruments pour la soirée sur le site d'observation

Les stagiaires avec leurs fusées

Les stagiaires conseillés et aidés par Christian, mettent la pression ...

Feu .... heuuu ... eau ....

Petit soucis .... départ de la fusée, hors contrôle .... pas de blessé ... mais des mouillés ... :-)

Pierre Magain a encore suscité l'intérêt du public avec cette fois une conférence sur l’origine de l’Univers.

La conférence balaye les mythes de l'antiquité et les tentatives de réponses à travers l’histoire, en prenant la voie de la cosmologie moderne. Cette dernière ne donne cependant pas satisfaction, ouvrant la porte à une forme de mythologie moderne!
La réponse sur l'origine de l'univers se trouve probablement ailleurs, et réclame de nouvelles théories.

Matière noire, énergie sombre, théorie des cordes univers non plan, etc. et voies théoriques nouvelle.
Le sujet a passionné le public d'une salle comble et Pierre Magain s'est efforcé de donner des réponses compréhensibles pour le tout un chacun.

L'annonce de la conférence:
CONFERENCE « L’Univers s’est-il créé tout seul »
Vendredi 17 juin 2016 à 20h à Spa
par Pierre Magain (professeur, ULg)
http://www.groupeastronomiespa.be/conf170616.htm

Alexandre
2016-Jun-19

Météo mitigée annoncée, mais finalement, le ciel semblait praticable.
Sur le terrain, mis à part l'un ou l'autre nuage résiduel, c'est un ciel serein avec une lune haute qui nous attendait.

Brigitte a sorti son nouveau joujou.
C'est d'une simplicité exemplaire. Ca se pose un peu dans n'importe quelle direction. Bye bye viseur polaire.
Grace à la petite caméra intégrée, ici à gauche sur la photo:

bzz, bzz... quelques coups de moteur, et l'engin se calibre tout seul. (il faut quand même attendre que la nuit tombe...).

On a pointé quelques objets, puis les nuages nous ont clôturé la soirée.

Alexandre

Bonjour,
A moins de 40 km de la frontière belge se trouve un des plus grands instruments d’astronomie au monde. Niché à 319 mètres d’altitude au creux d’un petit vallon de l’Eifel, le radiotélescope d’Effelsberg ne doit pas son nom à la région mais bien au village éponyme sur le territoire duquel il se trouve.
Du parking on ne voit pas grand-chose (image 1), et pas beaucoup plus depuis la buvette, mais lorsque l’on descend à la terrasse du premier point de vue, on se rend mieux compte de la taille de la bête (image 2).
Construit de 1967 à 1971 sur une monture altazimutale (image 3), cet instrument a longtemps été le plus grand radiotélescope entièrement orientable jusqu’à la construction du télescope de Green Bank aux Etats Unis. Avec son réflecteur de 100 mètres de diamètre (image 4), l’instrument est réellement impressionnant et il se découvre totalement depuis la terrasse inférieure (image 5). Comme les longueurs d’onde auxquelles il travaille permettent les observations de jours, il suffit de patienter un peu pour voir le colosse de 3200 tonnes se mettre en mouvement pour passer d’une cible observée à une autre.
Comme son nom l’indique, ce télescope est spécialisé dans l’observation des grandes longueurs d’ondes, de 7 à 90 cm. Bien que moins exigeante qu’en visuel, la précision de surface du réflecteur atteint quand même le demi millimètre! Les études consistent entre autre à l’observation et à la spectroscopie des nuages moléculaires ; à la cartographie de l’émission radio polarisée de notre galaxie et des galaxies proches ou encore à l’étude des restes de supernova ou des pulsars.
Cet instrument est aussi une pièce maitresse du réseau d’interférométrie aussi bien européen que mondial pour l’étude avec une résolution inégalée des quasars ou des régions centrales des galaxies lointaines. Enfin, en association avec les radiotélescopes de Jodrell Bank en Angleterre et de Parkes en Australie, le télescope a permis une cartographie complète du ciel à la longueur d’onde de 73 cm.
Adresse :
Radio-Observatorium Effelsberg
Max-Planck Strasse 28
D 53902 Bad Münsereifel

IMAGE 1: depuis le parking

IMAGE 2: le premier point de vue

IMAGE 3: la monture

IMAGE 4: le réflecteur

IMAGE 5: vue depuis la terrasse inférieure

IMAGE 6: une vue depuis le corps de garde

Jean-Luc Mairlot,

Ce mardi, animation d'une classe verte au Petit Fagnard par un Manu soulevant les passions.
Il y a une trentaine d'enfants. Les doigts des petits astronomes en herbe se lèvent les uns après les autres pour les questions.

Ca pétille dans ces petits yeux.

La météo n'est pas de la partie, mais ce n'est pas grave. Les enfants ont vite retourné la situation et mis en place leur vision de l'astronomie.
"Hi hi, je te vois, t'es tout petit"

Ici aussi, ce ne sont pas les plus petits qui se prennent au jeu.

Et nous avons notre astrophotographe en herbe.

Manu & Alexandre

La météo est belle ce samedi matin (12 mars). Pour le lendemain dimanche, les prévisions sont bonnes aussi, mais pas au top; des voiles nuageux pourraient gâcher quelque peu le ciel.
Il n’y a pas à hésiter; j'embarque rapidement le matériel de mesure de seeing solaire, le but étant de préparer des observations solaires autour de Spa.

Plusieurs sites de la région seront visités. Les photos suivantes sont prises dans l'orientation de l'observation, vers le soleil, expliquant leur contre-jour.
Les mesures de seeing jointes plus bas sont telles qu'affichées avec le logiciel accompagnant l'appareil de mesure de seeing; elles sont moyennées sur une minute.

Voici dans l'ordre.

1° La Géronstère, le site d'observation du GAS.
Il est entouré de bois et une inspection des alentours montre un sol gardant l'humidité.
Les mesures de seeing sont étonnamment bonnes, excellentes en fait: de l'ordre de 0.6 Arsec en moyenne.
Pondérons notre enthousiasme. D'abord, le soleil est encore assez bas; il n'a pas vraiment eu le temps de réchauffer l'atmosphère. Ce soleil bas ne sera pas facteur de haute résolution pendant les observations. Ensuite, le sol est encore fortement couvert de neige, limitant un réchauffement de la surface et donc probablement limitant les turbulences. Les mesures sont peut-être faussées.

2° Le deuxième site visité est le Centre Nature de Bérinzenne. Il reçoit avec son musée un public plus large.
Ici, les mesures de seeing se dégradent quelque peu. Il y a cependant toujours des pointes basses, encourageantes, de l'ordre de 0.6 Arcsec.
De l'imagerie à haute résolution est toujours dans le domaine du possible à Bérinzenne.

3° Visant un public plus général, la ville de Spa est visée.
Les spadois reconnaîtront certainement le lieu.
La qualité du ciel se dégrade généralement en ville, de par les bâtiments prenant la chaleur du soleil, et la restituant sous forme d’air réchauffé, créant ainsi des effets de convection.
Il faut s'attendre à un seeing moyen de 1.5 à 2 Arcec en ville. Les mesures faites sur place cassent cette idée. Le seeing moyen est de l'ordre de 1 Arcsec en matinée à Spa centre!

4° Une séance d'observation s’étend sur plusieurs heures en général. Le site de la Géronstère tient-il toujours ses promesses?
De retour à la Géronstère, une grosse déception s'installe. La qualité du seeing s’est fortement dégradée; à midi, le seeing moyen dépasse l'Arcsec. C’est toujours une valeur remarquable en soi, mais la Géronstère n’échappe pas à la règle générale d’une dégradation des paramètres sur la journée et ne sera pas un site exceptionnel.

5° Et en périphérie large de Spa, qu’en est-il?
Au centre de Sart, deux jeux de mesures ont été pris.
D'abord sur la pelouse au milieu de la place du marché, juste devant les maisons mitoyennes. Les résultats sont affichés sur la première moitié du graphique.
Ensuite, sur le carré de pelouse juste devant l'office de tourisme, la deuxième moitié des mesures.
Les résultats à Sart sont ceux attendus pour un centre habité: de l'ordre de 1.5Arcec.

6° Et en dehors d'un centre habité, qu'en est-il?
La dernière série de mesures a été faite au sud de Sart, en périphérie donnant sur la zone non-habitée.
Une déception. Les mesures se dégradent encore, avec un niveau moyen entre 1.5 et 2 Arcsec.

Une impression domine cette campagne de mesures: la dégradation des valeurs de seeing tout au long des heures. En première approche, on pourrait considérer Spa comme intéressant, mais Spa sera surtout attrayant en étant prêt avec son matériel à la montée du soleil.

Nous sommes toujours en hivers, et ces mesures ne sont pas représentatives du seeing qui règnerait en été. A suivre...


Alexandre
Mesures du 12-Mar-2016

Très belle journée ensoleillée nous avons eu ce vendredi.
Tous les espoirs étaient permis pour une nuit astro.
Mais au fur et à mesure de la mise à jour des cartes météo, les ambitions sont passées d'une soirée CCD à des essais à la CCD.
Voici le ciel en arrivant à la Géronstère (5x1min), finalement impraticable.





Repli vers le local, où on a quand même pu profiter du chocolat chaud préparé par Brigitte :-)
La matériel prévu pour la soirée, la mini monture Star Adventurer de voyage, a été placée sur son nouveau mini trépied en bois Berlebach.
Divers montages et quelques essais de stabilité.

Nous avons terminé la soirée en découvrant en partie les secrets du disque dur de Manu.

CS
Alexandre

Claudy avec l'astromobile ....

De gauche à droite: Martine, Carine, Claudy, Manu, Christian, Brigitte et Gustave ...

L'accueil, tout est prêt ... avant l'attaque des moustiques ...

L'installation des instruments ... avant 21h ... puis les voitures quittent le terrain. Malheureusement, le mauvais temps est arrivé avant.

Didier, de dos, avec son 400 mm.

A l'entrée, pour guider les visiteur, Pol et Christian.

Nous nous sommes rendus à Serbannes pour les ROS 2015.
Les organisateurs annoncent 120 observateurs et 60 instruments.

Comme lors de ma précédente visite il y a 2 années, on y retrouve d'étonnants engins.


Montage sur base d'un objectif Istar de 200mm:

Des jumelles géantes sur base de newton:

Des HaT, SCT dont la lame a été traitée pour en faire un ERF:

Un newton solaire....

Des coronographes:

Voici le coeur de l'un d'eux:

Dans les optiques classiques, on retrouve des SCT

Côté filtration, on retrouve des feuilles astrosolar, ici sur un newlon 250:

Des filtre Ha frontaux classiques:

Des PST modifiés:

Des étalons arrières, ici sur un Hat 280mm

Des double stacks

Encore un double stack 90; les observateurs sont prêts à faire un peu de gymnastique pour avoir des vues impressionnantes:

Pour le fun, on a droit à des discussions sympas, ici autour de l'autocollimation d'Etalons:

Et en final, un radio-telescope solaire:

Marc m'a transmis un lien vers le reportage de FR3:
http://youtu.be/oTo9nkgH_1o

Alexandre

RDV donné comme chaque année, nous nous sommes retrouvés à quatre pour aller à la foire astro d'Essen.
Cette année, la donne est nouvelle; le lieu changé, et c'est une autre école qui accueille la foire.

Les longs couloirs pour les vendeurs privés ont été remplacés par des salles de classes. C'est plus serein comme ambiance, mais finalement, je préfère les longs couloirs... On peut tracer de stand en stand.

Mis à part quelques exceptions comme Berlerbach, qui se trouve encore une fois juste à l'entrée, on retrouve dans les grandes salles les "grands" acteurs.
Voici le stand de Baader:

et une image partielle de l'autre grande salle.

Perso, j'ai du trouver mes marques dans cette nouvelle répartition.
Je suis parti en cherchant du matériel précis et suis revenu avec autre chose. Ca surprend les foires...
Les plus malins ont pu eux se faire offrir une Bier et un Bretzle pendant que je fouinais encore.


Alexandre

Avec Gaël CESSATEUR, post doctorant de l’Institut d’Aéronomie spatiale et Emmanuel JEHIN, chercheur FNRS, chercheur à l’Institut d’Astrophysique à l’ULG.
Podcast RTBF - La Première.

Premier emplacement à Spa, mais le ciel est couvert
Pol, Christian, Marianne et Didier

Oui, bon ... les lunettes, c'est pour le "fun"

A la Baraque Michel, Gustave est déjà prêt à notre arrivée

Christian prépare son instrument équipé d'un filtre spécial

Ben oui, il faut trouver le Soleil

Là, maintenant les lunettes spéciales éclipse sont utiles, Pol

Presque fini d'être installé, il y a déjà du monde qui observe

Une famille venant de Lontzen-Aachen ... je leur ai prêté un filtre "mylar" pour observer avec leur instrument

Filtre de soudeur ...

Le "Solarscope" a bien fonctionné et a eu son succès ... dommage qu'il n'y avait pas de taches solaires.

Règlage du Solarscope ... Pol, Marianne et Didier

Le Solarscope

Didier règle son appareil photo mis en parallèle de son Coronado

Quelques visiteurs/observateurs intéressés par le Coronado

Il faut régler le Solarscope régulièrement

Bonjour,
Quelques photos prisent par un ancien stagiaire, Olivier Puissant, qui a fait le stage entre 1995 et 1998 ... et qui se souvient de ses animateurs, Didier Vothy et Léon Sacré. C'est, maintenant, un collègue de travail et c'est fortuitement lors d'une discussion qu'il m'a dit qu'il était passé par le club.
Comme quoi l'astro même après des années, on garde un certain intérêt.

Son texte:
Prises avec un Panasonic Lumix TravelZoom TZ30, les paramètres de prise de vue sont lisibles après les avoir téléchargées... les conditions météo étaient, ciel légèrement laiteux... mais dégagé